samedi 7 janvier 2012

Drone américain saisi (capturé) par l'Iran

Silence
Silence des médias occidentaux, presse, radio, TV, chroniqueurs obsédés de buzz, praticiens patentés du “bashing”capables de s’emparer du moindre prétexte dès qu’il s’agit de diaboliser Russie, Chine, Cuba, Venezuela et autres boucs émissaires désignés à la vindicte d’une opinion publique droguée de désinformation… Censure privatisée, parfaitement rodée.
Parfois, dans la presse européenne ou nord-américaine, quelques maigres entrefilets, comme à regret, de reprises de communiqués d’agence de presse, lénifiants, noyés dans la masse de ce qu’on n’a pas le temps de lire. Alors que les médias du reste du monde n’ont cessé d’en faire leurs titres et articles ces jours derniers, particulièrement en Asie.
L’évènement qui s’est produit le dimanche 4 décembre 2011 présente, pourtant, des implications immédiates et une portée géopolitique d’une colossale importance. Composant un cocktail qui devrait passionner “journalistes d’investigation” et“experts médiatiques de politique étrangère”, esprits curieux et friands d’actualités, amateurs de jeux vidéo, lecteurs de BD et de romans d’espionnage assaisonnés aux missions ou exploits “impossibles”.
Coup de théâtre fusionnant tous les ingrédients des hautes technologies : aéronautique futuriste, guerres secrètes entre services spéciaux ou renseignements militaires, CyberWars ou conflits mêlant télécommunications cryptées et informatique bardée de codes et pare-feux, ruses minutieusement architecturées face aux foucades de l’arrogance stupide…
Silence, expression d’un déni.
Celui d’un désastre militaire et technologique majeur, immense, ravageur, pour les USA, dans leur prétention hégémonique à dominer le monde. Aux conséquences multiples.
Ce désastre vient de leur être infligé par l’Iran.SUITE

 NB/ image d'illustration

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