Silence
Silence des médias occidentaux, presse, radio, TV, chroniqueurs obsédés de buzz, praticiens patentés du “bashing”capables
de s’emparer du moindre prétexte dès qu’il s’agit de diaboliser Russie,
Chine, Cuba, Venezuela et autres boucs émissaires désignés à la
vindicte d’une opinion publique droguée de désinformation… Censure
privatisée, parfaitement rodée.
L’évènement qui s’est produit le dimanche 4 décembre 2011 présente,
pourtant, des implications immédiates et une portée géopolitique d’une
colossale importance. Composant un cocktail qui devrait passionner
“journalistes d’investigation” et“experts médiatiques de politique
étrangère”, esprits curieux et friands d’actualités, amateurs de jeux
vidéo, lecteurs de BD et de romans d’espionnage assaisonnés aux missions
ou exploits “impossibles”.
Coup de théâtre fusionnant tous les ingrédients des hautes
technologies : aéronautique futuriste, guerres secrètes entre services
spéciaux ou renseignements militaires, CyberWars ou conflits mêlant
télécommunications cryptées et informatique bardée de codes et
pare-feux, ruses minutieusement architecturées face aux foucades de
l’arrogance stupide…
Silence, expression d’un déni.
Celui d’un désastre militaire et technologique majeur, immense,
ravageur, pour les USA, dans leur prétention hégémonique à dominer le
monde. Aux conséquences multiples.
Ce désastre vient de leur être infligé par l’Iran.SUITE
NB/ image d'illustration
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