
Initialement expulsés de l’ancien internat de l’Ecole des Greffes
où ils ont trouvé refuge depuis le 26 janvier (voir ici), les demandeurs d’asile
ont bénéficié d’un peu plus d’un mois de sursis.
où ils ont trouvé refuge depuis le 26 janvier (voir ici), les demandeurs d’asile
ont bénéficié d’un peu plus d’un mois de sursis.
L’ancien internat de l’Ecole des Greffes restera occupé durant encore
plus d’un mois.
Le dossier des demandeurs d’asile a connu un nouveau rebondissement mardi
suite à une décision du tribunal d’instance de Dijon.
Les demandeurs d’asile, originaires d’Afrique subsaharienne
(Erythrée, Ethiopie, Somalie, Gabon, Congo, Soudan),
avaient engagé une action auprès du juge de l’exécution afin d’obtenir un délai d’expulsion.
Le dossier des demandeurs d’asile a connu un nouveau rebondissement mardi
suite à une décision du tribunal d’instance de Dijon.
Les demandeurs d’asile, originaires d’Afrique subsaharienne
(Erythrée, Ethiopie, Somalie, Gabon, Congo, Soudan),
avaient engagé une action auprès du juge de l’exécution afin d’obtenir un délai d’expulsion.
Les squatteurs et les associations de soutien ont été
entendus puisqu’un
délai courant jusqu’au 15 mars a été accordé, « au motif notamment de la saturatio
des dispositifs d’hébergement d’urgence pour les sans-abri à Dijon et de l’absence
de propositions de relogement par l’Etat » explique Paul Garrigues
de la Ligue des droits de l’homme.
Au cours de cette période, le préfet de Côte-d’Or et l’Etat devront
être en mesure de trouver un logement décent pour l’ensemble des demandeurs d’asile.
Les associations * souhaitent « engager un dialogue de fond
et mettre en place des solutions pérennes » en collaboration avec la préfecture.
délai courant jusqu’au 15 mars a été accordé, « au motif notamment de la saturatio
des dispositifs d’hébergement d’urgence pour les sans-abri à Dijon et de l’absence
de propositions de relogement par l’Etat » explique Paul Garrigues
de la Ligue des droits de l’homme.
Au cours de cette période, le préfet de Côte-d’Or et l’Etat devront
être en mesure de trouver un logement décent pour l’ensemble des demandeurs d’asile.
Les associations * souhaitent « engager un dialogue de fond
et mettre en place des solutions pérennes » en collaboration avec la préfecture.
* ACAT Dijon,
Action Catholique Ouvirère, Adisar, Afrane
, Amnesty international, ATTAC21, CFDT21, Club UNESCO Dijon,
CCFD Terre Solidaire,, CSF, Espace Autogéré des Tanneries,
Fraternité de Saint François d’Assises, FSU 21, La Cimade,
la Vie Nouvelle, LICRA, Ligue des Droits de l’Homme,
MRAP, Pastorale des Migrants, RESF21, Secours Catholique,
SOS Refoulement, Syndicat de la Magistrature, Urgence Solidaire
source
, Amnesty international, ATTAC21, CFDT21, Club UNESCO Dijon,
CCFD Terre Solidaire,, CSF, Espace Autogéré des Tanneries,
Fraternité de Saint François d’Assises, FSU 21, La Cimade,
la Vie Nouvelle, LICRA, Ligue des Droits de l’Homme,
MRAP, Pastorale des Migrants, RESF21, Secours Catholique,
SOS Refoulement, Syndicat de la Magistrature, Urgence Solidaire
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au dessus, liste des collabos , à mémoriser et se rappeler le jour venu!
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