Comme partout
en Europe, l’anarchie s’est répandue sur le territoire où Claude Perrin
situe l’action de son roman. Le tsunami de l’immigration-invasion, la
décomposition des institutions publiques, la disparition des cadres
habituels ont permis à des bandes de pillards de faire régner une
terreur sans fin.
Tel est le
cadre dans lequel Claude Perrin place les personnages de son roman : des
hommes, une femme qui refusent d’accepter l’inacceptable, la
soumission, l’esclavage. Ils choisissent donc de se battre. Et
s’organisent en réseaux de solidarité pour survivre et conduire la
résistance, afin de préparer, un jour, la reconquête.
Le lecteur va
vivre à leurs côtés des moments intenses, des épisodes hauts en couleur,
qui l’inciteront à se préparer mentalement et physiquement à l’avenir,
le proche avenir qui s’annonce chaotique.
On est là dans la veine du Camp des saints de Jean Raspail – mais en plus optimiste, heureusement, puisque
Claude Perrin annonce à ceux qui sont capables d’entendre son message
que la renaissance est au bout du chemin. Pour ceux qui auront choisi la
lutte.
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