mardi 2 octobre 2012

L'espagnol à Kippa utilise la racaille pour faire la police


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Pas étonnant que la police prenne son pied à tabasser les nationalistes blancs, quand on va recruter dans les bas fonds.
Il n'y a plus de différence entre Police et racaille , la France est sérieusement gangrénée.

Marseille: plusieurs policiers de la BAC interpellés

Plusieurs policiers de la Bac nord de Marseille ont été interpellés ce matin par la police des polices (DGPN) qui menait une perquisition dans leurs locaux pour une affaire présumée de corruption.
La police des polices fouillait notamment les vestiaires des policiers, a précisé une source, sans autre détail dans l'immédiat.

Selon son porte-parole, Pascal Garibian, les enquêteurs de l'IGPN ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire de deux juges marseillais, Patricia Krumenacker et Caroline Charpentier, pour notamment "vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants". Pascal Garibian n'a pas précisé le nombre des interpellations. Il a confirmé une première information d'une source proche de l'enquête qui faisait état d'une perquisition dans les locaux, notamment dans les vestiaires de la brigade anticriminalité des quartiers nord de Marseille. L'IGPN, a précisé Garibian, a agi "dans le cadre d'une enquête menée depuis plusieurs mois par l'IGPN sous contrôle de l'autorité judiciaire".

Début septembre, un comité interministériel sur la criminalité à Marseille, présidé par le premier ministre Jean-Marc Ayrault, avait réuni une quinzaine de ministres, notamment Manuel Valls (Intérieur), Christiane Taubira (Justice), dans la deuxième ville de France, théâtre de multiples règlements de comptes souvent liés au trafic de drogue.

Un nouveau préfet de police, qui sera doté de pouvoirs étendus, Jean-Paul Bonnetain, a été nommé à la mi-septembre en Conseil des ministres, disant s'attendre à une tâche "complexe, délicate et à fort enjeu".


Corruption : quatre policiers de la Bac de Marseille arrêtés

Ces enquêteurs, qui ne sont pas officiers de police judiciaire, sont soupçonnés de «vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants».

Quatre policiers de la Bac nord de Marseille ont été interpellés puis placés en garde à vue mardi matin par la police des polices (DGPN) qui menait une perquisition dans leurs locaux pour une affaire présumée de corruption. Divers documents ont été saisis à cette occasion. La DGPN a notamment fouillé les vestiaires de ces enquêteurs - qui ne sont pas des officiers de police judiciaire, a précisé le procureur de la République. D'autres interpellations sont prévues, a par ailleurs indiqué le magistrat.

Selon le porte-parole de la DGPN, Pascal Garibian, les enquêteurs ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire pour «vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants». Une information judiciaire menée par deux juges d'instruction avait été lancée suite à des dénonciations internes et anonymes faisant état de «compromis» supposés passés entre des policiers et des petits caïds dans le cadre d'enquêtes en cours.

«On est dans le cadre normal d'une enquête»

D'après une source proche du dossier à Marseille, l'affaire ferait également suite à des dénonciations faites par un policier dans la presse locale, quelques semaines après sa révocation en mars. Ce policier d'une trentaine d'années avait été révoqué «pour une histoire de dealer interpellé, qu'il avait relâché avec des produits stupéfiants et sans en informer ni sa hiérarchie ni le parquet», a précisé la même source. Avant d'ajouter: «On est dans le cadre normal d'une enquête, pour voir si les faits allégués se vérifient et si on retrouve des stupéfiants ou de l'argent ayant pu être prélevés au profit de certains collègues de la BAC».

Début septembre, un comité interministériel sur la criminalité à Marseille, présidé par le premier ministre Jean-Marc Ayrault, avait réuni une quinzaine de ministres, notamment Manuel Valls (Intérieur), Christiane Taubira (Justice), dans la deuxième ville de France, théâtre de multiples règlements de comptes souvent liés au trafic de drogue. Un nouveau préfet de police, Jean-Paul Bonnetain, qui sera doté de pouvoirs étendus, a été nommé à la mi-septembre en Conseil des ministres, disant s'attendre à une tâche «complexe, délicate et à fort enjeu».source

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