dimanche 1 février 2015

Comment les réseaux sociaux manipulent nos cerveaux

Cet article date de 2009, mais reste d'actualité.

Est-il concevable que des millions de jeunes, aujourd’hui accros aux communautés virtuelles comme Facebook et MySpace, soient victimes d’amnésie collective ? Pourquoi, lorsque Rupert Murdoch racheta MySpace, n’y a-t-il pas eu un boycott massif de ce site ? Peut-être que ces jeunes ont oublié que l’empire médiatique de Rupert « Goebbels » Murdoch était le principal organe de propagande pour la guerre perpétuelle de Dick Cheney et de ses subalternes. Peut-être n’ont-ils jamais lu le Wall Street Urinal, et sa propagande de banquiers parasites de Londres et de Wall Street ? Ou bien, peut-être n’ont-ils jamais regardé Fox TV, et ses rassemblements de Nuremberg quotidiens pour affalés du divan ?
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Ensuite, il y a le cas de Bill Gates qui, avec son costume de « über-nerd », a dupé tant d’Américains, leur faisant oublier que son empire de l’informatique est si grand qu’on ne peut même plus le qualifier de monopole.
De plus, des millions de jeunes zombifiés continuent à être espionnés par ces voyeurs milliardaires, leur offrant à eux et à l’empire qu’ils représentent un « peep-show psychologique », dont même les « ingénieurs sociaux » les plus obsessifs n’avaient pas osé rêver.
Le but de cet article est de donner un aperçu de l’évolution de « l’ingénierie sociale », de la vieille thérapie des électrochocs à la thérapie moderne des « débilochocs ». Ces sites de réseaux sociaux sont tout simplement des relents de projets sortis de l’Institut Tavistock de Londres et du Research Center for Group Dynamics (Centre de recherche sur les dynamiques de groupe) à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT), et dans lesquels les « scientifiques sociaux » ont tenté, à l’aide de la dynamique de groupe, de parquer la population dans un consensus. Puis ils ont convaincu la population que la « démocratie » était le véritable nom de ce consensus.
Puis, comme nous le verrons, cet effort de création d’une véritable « société démocratique » a toujours été financé par des fondations liées à l’Empire britannique, telles que la fondation Rockefeller, la fondation Ford, la fondation Russell Sage, et la fondation Josiah Macy, pour ne nommer que celles-là. Ces fondations oligarchiques ont frappé les deux faces de la pièce « droite-gauche », faisant appliquer la démocratie du consensus d’un côté, et promouvant les mouvements fascistes de l’autre. Leur escroquerie a réussi à convaincre les gens qu’il existe une différence réelle entre pile et face, tandis qu’ils montent la gauche contre la droite, assurant ainsi leur destruction mutuelle assurée. A travers ces tactiques de divide et impera, ces fondations sont devenues le tertius gaudens – le « tiers qui récolte les bénéfices ».
Aujourd’hui, le projet d’ingénierie sociale exploitant la dynamique de groupe émane d’un cercle relativement restreint d’« ingénieurs sociaux », qui se nomme International Network of Social Network Analysis (INSNA, Réseau international des analyses de réseaux sociaux). L’INSNA s’inscrit dans la plus pure tradition des « scientifiques sociaux » qui l’ont précédé, en demeurant au service de la finance internationale. Certains de ses membres font également partie d’organisations répugnantes comme la fondation Olin et la fondation Irwin. Et l’INSNA se vante de compter dans ses rangs quatre chevaliers d’ordres royaux, tel que l’ordre d’Orange Nassau, qui était dirigé jusqu’en 2004 par un ex-membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, avant que celui-ci ne retourne en enfer.
Il y a une chose que des Nazis comme le prince Bernhard et Joseph Goebbels savent pertinemment : la persuasion est la clé de la création des mouvements fascistes. C’est pour cette raison que les fondations oligarchiques investissent des milliards de dollars dans les technologies de réseaux sociaux : « le Stanford Persuasive Technology Lab (Laboratoire des technologies persuasive de Stanford) travaille sur les capacités des produits informatiques – depuis les sites Internet jusqu’aux logiciels de téléphonie mobile – à modifier ce que les gens croient et ce qu’ils font. C’est pour cette raison que nous étudions Facebook – c’est hautement persuasif » [1] https://web.archive.org/web/20130618081839/http:/www.mecanopolis.org/?p=5194

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