samedi 12 novembre 2011

Reflexion pour une survie autarcique

Dans notre famille de pensée, pour ceux qui ont depuis longtemps compris que notre salut, ne viendra pas par la voie électorale, mais plus par un nécessaire combat armé .

Partant de cette réalité, chacun de se côté où au travers d'organisations structurées se forment, s'instruisent à cette éventualité par le biais d'entrainement type para militaire (soft-ball, paint-ball, marche d'orientation, escalade ou tous autres sports de combat), c'est dans nos moyens actuel , le minimun à faire, dans la mesur de nos possibiité, mais je pense aussi, que si nous devons connaitres dans les mois, les années à venir, un conflit éthnique en France où en Europe à la manière des Balkans (ce qui n'est pas exclu), il faudra penser outre le fait de devoir tuer pour sa survie et celle des siens, mais aussi de devoir se nourrir, ainsi que sa famille où tous ceux qui se retouverons dans des villages isolés, les campagnes, les forêts, pour echapper aux combats et se mettre à l'abri.

Dans cette optique je crois bon aussi dés à présent de s'informer sur les différentes ressources alimentaire que nous pouvons trouver autour de nous, c'est à dire les plantes sauvages comestible, car oui, une fois une communauté implanté, il sera toujours possible de planter des légumes, des céréales, mais dans un premier temps;il faudra se nourrir avec ce que mére nature pourra nous offrir.

C'est pourquoi, je vous invite,  à faire partager cette reflexion à vos proche et à vous documenter le plus possible sur les plantes sauvage comestible (les reconnaitres, les consommer).


Ce lien pourra déjà vous aider dans vos recherches et bien sur toutes les connaissances, les conseils etc.... seront les bienvenus pour...........eh bien pour le jour où nous n'aurons plus d'autres choix que de quitter (pour un temps) nos foyer et nous retrouver dans les maquis, entourés de nos familles et de nos proches en attendant le jour de l'appel à la Reconquista.

Aussi, autre reflexion, nous enrageons devant le principe de l'abattage rituel qui nous est imposé, qu'il soit musulman où israélite, dans les cantines scolaire, les hôpitaux, les fast-food détenus par de l'argent public (quick) etc......
Sauf, que nous autres Gaulois, devenus avec le temps des citadins, voire des néo-ruraux, pour beaucoup d'entre nous, à part allez achetez sa volaille au marché du coin, nous ne savons plus tuer une bête pour se nourrir. Combien d'entre nous savent simplement tuer et plumer un poulet, tuer un lapin et le dépecer, même tuer un cochon et le débiter pour pouvoir nourrir une famille, un clan , bien peu, j'en ai peur.
A part les fermiers, les artisans charcutiers, bouchers, voir les chasseurs, mais quel pourcentage représent'il de la population, alors que dans le même temps les garçons musulmans aprrennent très jeune à tuer un mouton, comme un rite de passage, alors en grandissant jouer du couteau où du cutter pour saigner un mécréant, dont la vieà leurs yeux  n'est pas plus importante qu'un mouton, il n'y a qu'un pas.

 Tous ça pour dire, que si nous devons dans un laspe de temps plus où moins court, nous retrouver à vivre de manière autarcique, dans des lieux isolés pour nous protéger, nous devons dés à présent former et nous former à la "résistance alimentaire"  en découvrant, en apprenant quelles fleurs, quelles plantes peut nous maintenir en vie, ainsi que devoir réapprendre à tuer pour se nourrir.

En conclusion, je crois qu'il serait vital en outre de penser à ce concept de "résistance alimentaire" lors de formation, en plus de la nécessaire formation doctrinale et physique.



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