Il y a des articles après lecture desquels le lecteur se dit : « Ce n’est pas possible, je m’informe régulièrement et je pense être au courant des actualités la plupart du temps, pourquoi je ne sais rien de cela ? » Le présent article est un tel article. Ceux qui pensent qu’il s’agit dans le contexte d’Euro-Gend-For d’un terme lié à la notion anglaise « gender » – définition artificielle et très à la mode du « genre », du « sexe social » – se trompent. Le nom est un morceau de magnificence issu du pouvoir d’innovation intellectuelle des Français : au lieu d’une troupe de l’UE de malfrats violents à la Rambo, ou des Bodyguards à la paie de Goldman-Sachs selon le modèle Blackwater, est née une armée privée dénommée « Force de gendarmerie européenne » (FGE). Les Allemands du camp d’Angela Merkel pourraient ainsi détourner sur les Français le « mécontentement » que l’Europe de l’euro, prétendument si amoureuse de la liberté, déclenche dans les pays où elle intervient. Mais cette mascarade se terminera au plus tard à l’arrivée en Grèce.

Cela fermente en Espagne, les protestations publiques
augmentent de jour en jour. Tandis que les Allemands recommandent aux
Méditerranéens de se lever plus tôt, de prendre moins de vacances et de
travailler plus, la colère du peuple grec se décharge dans les rues du
pays. Cela fermente et bouillonne partout, les hommes craignent des
situations semblables à des guerres civiles déclenchées par la crise
dans toute l’Europe. On s’en rend compte au bureau central de l’Union
européenne, et depuis longtemps, l’on a pris des mesures
correspondantes.
On prépare maintenant pour la première fois
l’engagement de l’armée privée de l’UE qui s’apprête à partir pour la
Grèce. A peine un Européen connaît cette unité secrète qui répond au nom
d’« EuroGendFor ». Le quartier général de cette unité d’intervention
spéciale de 3000 hommes se trouve à Vicence en Italie. L’ancienne
ministre française de la Défense Alliot-Marie a initié la fondation de
cette troupe, après des troubles de plus en plus fréquents sous formes
de batailles de rue et de pillages suscités par des adolescents
musulmans immigrés en France. « EuroGendFor » est à la fois police,
police judiciaire, armée et services secrets. Les compétences de cette
unité sont pratiquement illimitées. Elle doit, en coopération étroite
avec les militaires européens, garantir la « sécurité en territoires de
crise européens ». Sa tâche consiste surtout à réprimer des révoltes. De
plus en plus d’Etats membres de l’UE adhèrent à « EuroGendFor ».suite de l'article
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