Cet article date de 2009, mais reste d'actualité.
Est-il concevable que des
millions de jeunes, aujourd’hui accros aux communautés virtuelles comme
Facebook et MySpace, soient victimes d’amnésie collective ? Pourquoi,
lorsque Rupert Murdoch racheta MySpace, n’y a-t-il pas eu un boycott
massif de ce site ? Peut-être que ces jeunes ont oublié que l’empire
médiatique de Rupert « Goebbels » Murdoch était le principal organe de
propagande pour la guerre perpétuelle de Dick Cheney et de ses
subalternes. Peut-être n’ont-ils jamais lu le Wall Street Urinal, et sa
propagande de banquiers parasites de Londres et de Wall Street ? Ou
bien, peut-être n’ont-ils jamais regardé Fox TV, et ses rassemblements
de Nuremberg quotidiens pour affalés du divan ?
Ensuite,
il y a le cas de Bill Gates qui, avec son costume de « über-nerd », a
dupé tant d’Américains, leur faisant oublier que son empire de
l’informatique est si grand qu’on ne peut même plus le qualifier de
monopole.
De plus, des millions de jeunes
zombifiés continuent à être espionnés par ces voyeurs milliardaires,
leur offrant à eux et à l’empire qu’ils représentent un « peep-show
psychologique », dont même les « ingénieurs sociaux » les plus obsessifs
n’avaient pas osé rêver.
Le but de cet article est de donner un
aperçu de l’évolution de « l’ingénierie sociale », de la vieille
thérapie des électrochocs à la thérapie moderne des « débilochocs ». Ces
sites de réseaux sociaux sont tout simplement des relents de projets
sortis de l’Institut Tavistock de Londres et du Research Center for
Group Dynamics (Centre de recherche sur les dynamiques de groupe) à
l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT), et dans lesquels les «
scientifiques sociaux » ont tenté, à l’aide de la dynamique de groupe,
de parquer la population dans un consensus. Puis ils ont convaincu la
population que la « démocratie » était le véritable nom de ce consensus.
Puis, comme nous le verrons, cet effort
de création d’une véritable « société démocratique » a toujours été
financé par des fondations liées à l’Empire britannique, telles que la
fondation Rockefeller, la fondation Ford, la fondation Russell Sage, et
la fondation Josiah Macy, pour ne nommer que celles-là. Ces fondations
oligarchiques ont frappé les deux faces de la pièce « droite-gauche »,
faisant appliquer la démocratie du consensus d’un côté, et promouvant
les mouvements fascistes de l’autre. Leur escroquerie a réussi à
convaincre les gens qu’il existe une différence réelle entre pile et
face, tandis qu’ils montent la gauche contre la droite, assurant ainsi
leur destruction mutuelle assurée. A travers ces tactiques de divide et
impera, ces fondations sont devenues le tertius gaudens – le « tiers qui
récolte les bénéfices ».
Aujourd’hui, le projet d’ingénierie
sociale exploitant la dynamique de groupe émane d’un cercle relativement
restreint d’« ingénieurs sociaux », qui se nomme International Network
of Social Network Analysis (INSNA, Réseau international des analyses de
réseaux sociaux). L’INSNA s’inscrit dans la plus pure tradition des «
scientifiques sociaux » qui l’ont précédé, en demeurant au service de la
finance internationale. Certains de ses membres font également partie
d’organisations répugnantes comme la fondation Olin et la fondation
Irwin. Et l’INSNA se vante de compter dans ses rangs quatre chevaliers
d’ordres royaux, tel que l’ordre d’Orange Nassau, qui était dirigé
jusqu’en 2004 par un ex-membre du parti nazi, le prince Bernhard des
Pays-Bas, avant que celui-ci ne retourne en enfer.
Il y a une chose que des Nazis comme le
prince Bernhard et Joseph Goebbels savent pertinemment : la persuasion
est la clé de la création des mouvements fascistes. C’est pour cette
raison que les fondations oligarchiques investissent des milliards de
dollars dans les technologies de réseaux sociaux : « le Stanford
Persuasive Technology Lab (Laboratoire des technologies persuasive de
Stanford) travaille sur les capacités des produits informatiques –
depuis les sites Internet jusqu’aux logiciels de téléphonie mobile – à
modifier ce que les gens croient et ce qu’ils font. C’est pour cette
raison que nous étudions Facebook – c’est hautement persuasif » [1] https://web.archive.org/web/20130618081839/http:/www.mecanopolis.org/?p=5194
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire